En faisant irruption dans sa vie, Becky changea la donne. Pour la première fois, Buck se sentait plein d'une tendresse qui jusqu'alors lui était cruellement interdite. Il devinait qu'un rapprochement fut possible mais ignorait tout de la façon dont celui-ci devait s'opérer. Il aurait voulu offrir à la belle une bague ou un collier, comme il est d'usage pour un prétendant, mais il sentait confusément que Becky n'était pas de celles qui acceptent en minaudant ce genre de cadeaux. Ah vraiment, l'amour était bien loin d'apaiser les tracas de notre héros.
Je serai tes yeux ; tu seras mes jambes. Et si Descartes s'était planté ; et si la dualité entre "la tête et les jambes" ne révélait pas celle du corps et de l'esprit mais celle du genre humain. Ceci expliquerait peut-être cela !!! Sarkozy avait "besoin" de Carla... et pas que pour sa philosophie ou ses chansons. Fais gaffe Buck ! Becky sait courir.
RépondreSupprimerElémentaire mon cher Bellemare !
... et si tu étais le Moebius de J.London !
RépondreSupprimer"L'appel de la forêt" : Buck, un chien-loup, retrouve sa condition en errant dans les grands espaces : de la civilisation à l'espace sauvage ; de la verticalité à l'horizontalité. Le loup l'emporte sur le chien.
: Buck, un demi-homme, recherche sa nature en se confrontant à son environnement. Du désert à la civilisation ? De l'horizontalité à la verticalité. L'homme l'emportant sur dieu ?
Intéressant, non ?
Becky fait peut-être partie d'un peuple venu des profondeurs de l'univers, en recherche de bras, pour travailler sur leur planète.
RépondreSupprimerAttention Buck, tu vas devenir un esclave de cette créature.
Les jambes commanderont alors la tête!
Starbuck !
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