mardi 17 juillet 2012

That fuckin' rainy summer

Pour le shérif Kenneth O'brian le doute n'était plus permis; c'était là l'oeuvre d'un pro. S'il avait laissé l'arme du crime sur les lieux de son forfait ce n'était pas par erreur mais pour signifier quelque chose.
Ce putain d'été pourri s'annonçait long.

3 commentaires:

  1. Le travail aurait été plus propre si j'avais trouvé l'ouverture facile. Putain de conserve !

    La Vache qui Rit - le 18/07 07h45

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  2. Merde j'avais pas vu ! Ce n'est pas un suicide.


    perspicace : 00h45. Comme aurait pu le dire le prince noir dans une autre vie "on avance doucement mais surement"

    Qui était le prince noir ?

    Le Prince noir, également surnommé Pascal, est un motard dont l'identité est inconnue, détenteur d'un record de vitesse sur le boulevard périphérique de Paris, un dimanche matin de septembre 1989.

    Cette « course », effectuée en 11 min 4 s au guidon d'une Suzuki GSX-R 1100 (largement modifiée, puisque dotée de carter et boîte 6 vitesses de GSX-R 750 Race Replica, rechemisage en 1 311 cm3 avec arbres à cames retaillés), a été enregistrée à l'aide d'une caméra embarquée fixée sur le réservoir de la moto. Le film qui en résulte montre le point de vue du pilote, avec vue sur le tableau de bord ainsi que sur la circulation. Le périphérique faisant environ 35 km, la vitesse moyenne du Prince noir est donc de 190 km/h. Cette cascade est d'autant plus dangereuse qu'elle se déroule aux alentours de 7 h du matin, alors qu'un grand nombre de voitures circule déjà sur le boulevard périphérique et que le Prince noir atteint des vitesses supérieures à 250 km/h, visibles sur le compteur de la moto.

    Ce film a été diffusé au cours de plusieurs émissions de télévision, notamment Reporters sur La Cinq2. D'après l'émission de télévision Reporters, le Prince noir a 27 ans en 1989, il serait donc né vers 1962.

    L'histoire est aussi reprise dans la presse (Paris Match, Moto Journal, Le Parisien), et suscite un grand nombre de commentaires. Le Prince noir fait alors l'objet d'une certaine médiatisation, comme en témoigne son apparition quelque temps plus tard à l'émission Ciel mon mardi.

    Malgré la mobilisation de la police, le Prince noir ne sera jamais arrêté. Ses anciens compagnons, qui ont promis de garder l'anonymat de leur ami, déclarent à une journaliste : « le lendemain de l'exploit, nous avons reçu à la première heure un coup de téléphone du préfet. Pendant plusieurs mois, toutes les nuits, des dizaines de fonctionnaires le cherchaient. » Il serait, en 2009, toujours en vie4,5. Il déclare qu'il révélera son identité le jour de ses 50 ans, vers 20124.

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  3. Une chose est sure :

    Si l'homme étendu par terre était un homme (ça reste à démontrer) avec 2 bras, 2 jambes, une tête à claque ronde et une houppette blonde débile... On ferait moins les malins ! D'autant plus que le gros Kenneth a quand même un sérieux air d'affreux méchant au nom grec. Qu'est-ce qu'il fout en justicier ?
    Putain de putain de bordel de merde ; je sens poindre derrière tout ça une attaque terroriste contre le symbole même de la ligne claire. Eviscèrer le héros à la houppette à l'ouvre boite pour droitier comme une vulgaire conserve, c'est la ligne claire rejetée comme une boîte de raviolis avariés. Bref, notre tueur est un gourmet et un esthète. Traits de caractères provenant probablement d'un traumatisme profond. Putain j'y suis ! Le Crabe aux pinces d'or. La boîte de conserves... Milou !!! Oh putain ! C'était un doberman.

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